Après le gros temps de “la nuit de la panne”, la mer s’est adoucie, pour s’excuser peut-être.
On repartait de Marina del Este dans une mer d’huile absolue. Comment peut-elle revêtir tous ces visages, du plus frippé, violent, menaçant, au plus doux, lisse, absent.
Je n’aurais pas été étonnée de voir nager un Nessie échappé des loch
écossais dans ce lac soyeux, dans cette brume étrange, dans cette drôle
d’atmosphère.
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