On aime quitter Tanger comme on a aimé y arriver. L'envie de reprendre
la mer se faisait déjà omniprésente depuis quelques jours. Une
obsession, des fourmis dans le pied marin, un nomadisme titillant. Mais
cette fois c'est l'aventure : on part pour la Haute Mer (on estime lors
la traversée jusque Madère à 5 jours de nav' sans toucher terre) et en
grand comité.
On est six à bord depuis la veille, après les
arrivées successives de Pauline (ma camarade de chambrée, enfin cabine,
enfin poste arrière), Annette puis Guillaume. Sur un Abalone lui pas
plus grand qu'avant, ça change tout. La bouffe, les quarts de nuit, tout
est à rééquilibrer, notre petite routine de presque un mois à trois se
retourne dans sa bannette. Et c'est tant mieux.
Voici donc de gauche à droite Pierre, Pauline, Annette, Guillaume et Captain contemplant son équipage |
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On apprend à vivre ensemble, ça passe déjà par cuisiner ensemble...
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Le pain de Pauline, déjà légendaire |
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Une technique homologuée ISO rosé |
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Et un captain pas peu fier des pains du bord
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