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"Quién como Dios ?", c'ets vrai ça, qui donc ? |
J'étais prête à rester quelques mois de plus en Colombie, et d'ailleurs ça viendra, ça reviendra, je reviendrai. J'en suis certaine. Mais mon errance solitaire s'est trouvée déviée par quelques belles âmes m'appelant plus au Sud. Même pas cap de traverser un pays pour passer quelques jours bien entourée ? Et ben si, faut pas jouer à me défier, je ne résiste pas fort. Me voici dans un sprint austral, pour rejoindre mon ancienne collègue Beryl à Quito où elle passe les derniers moments d'un séjour équatorien.
Alors vraiment, là, je m'échappe, de Medellin je ne verrai que le fameux Peñol, la pittoresque Guatapé et un petit bout de la onda festive de la ville et ses gens, où par chance je retrouve mon pote de Bogota Julian pour des au revoirs qu'on n'avait pas eu l'occaz' de faire avant.
Guatapé pluvieux, ça fait un peu loch écossais quand même |
Mais voyons, on ne monte pas sur le pied d'estale de la vierge ! |
Guatapé est ainsi, toute de couleurs vêtute |
A Cali, je prendrai le temps de la balade dans ses rues ornées de couleurs et d conseils, et me prendra l'envie de revenir y apprendre à danser, après avoir découverte la folie des nuits salseras.
Je suis assez d'accord |
Pandebono hardcor, ça se traduirait à peu près par "Trash friand au fromage"... |
Tu es ce que ton chien dégoûtant laisse ici |
Au marché de Cali, des essences magiques : "kamasutra", "bientôt du travail"... |
"pluie d'argent", "miel d'angletrre (?), "désespoir", "tout détruire" |
Toujours plus Sud, Ipiales, on monte, voilà déjà les Andes...
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